Au tout début, je m’étais moi-même posé la question : est-ce que j’agirais ? Une réflexion toute personnelle, mais lourde de conséquences. Est-ce que je pousserais le piston de la seringue pour aider un patient à mourir ?
J’en étais arrivé à la conclusion que oui, parce que je ne pourrais refuser à un patient très souffrant l’aide médicale à mourir pour le forcer à rester «parmi nous».