À partir du 24 avril, les patients qui désirent conserver les médicaments d’origine qui leur sont prescrits, plutôt que des médicaments génériques, devront assurer la différence de prix. Le régime public soutient donc largement les médicaments génériques. Cette solution moins onéreuse fait-elle courir des risques aux patients? Alain Vadeboncoeur, chef de l’urgence à l’Institut de cardiologie de Montréal et blogueur à L’actualité, fait le point. Audio fil ici.
Le mardi 17 février 2015