COEURS… en librairie!

Une contraction, une pulsation…CŒURS s’ouvre sur un battement, le tout premier. Cet ouvrage raconte l’histoire d’un organe essentiel du corps humain, mais parle aussi de vie, de mort et de tout ce qui survient entre les deux. À partir de récits captivants, qui ont marqué le quotidien de ses 32 années passées aux urgences, Alain Vadeboncœur explique l’origine et la formation de cette pompe sophistiquée, son étonnant fonctionnement, les différentes maladies qui l’affectent et leurs traitements actuels, tout en parcourant avec nous l’impressionnante évolution des soins cardiaques et des approches de prévention. Avec schémas à l’appui, il offre une synthèse claire de ses apprentissages et livre un vibrant hommage aux dizaines de milliers de patients qui ont nourri sa vocation et son engagement depuis ses débuts en médecine. Cœurs sensibles, ne pas s’abstenir!

Le livre est disponible dans toutes les librairies et ici sur le site des Éditions de l’homme.

1 % du revenu des médecins pour régler les frais accessoires du 99 %

logolactualiteAu-delà du jeu politique et de la lutte de pouvoir entre le ministère de la Santé et les fédérations, et au-delà des pressions gouvernementales pour réduire les coûts, une question centrale demeure : peut-on régler le problème des frais accessoires autrement que sur le dos des patients ?
Sante_et_science

La réponse est d’autant plus simple que nous avons déjà utilisé la solution plusieurs fois, à tel point que je ne comprends même pas pourquoi elle n’a pas encore été évoquée par le ministre.

Ma solution: à lire sur mon blogue @lactualite.

 

 

Frais accessoires : le piège caché dans la «solution» du ministre Barrette

logolactualiteLe ministre de la Santé, Gaétan Barrette, entérinera bientôt le système de santé à deux vitesses en «normalisant» les frais accessoires facturés aux patients.

L’accès en fonction des moyens ne sera donc plus un problème, puisqu’il recevra la bénédiction gouvernementale. Sante_et_scienceOu comment la «solution» aura des conséquences plus graves que le problème.

A lire sur mon blogue @lactualite.

5 enjeux majeurs en santé pour la campagne fédérale 2015

Chouette, une campagne électorale en plein été ! Et pour bien en profiter, nous avons encore 10 bonnes semaines devant nous. Parlera-t-on de santé ? Je n’en ai pas la moindre idée, même si les sujets pertinents ne manquent pas.

logolactualiteAu fait, parle-t-on généralement de santé dans une campagne électorale fédérale ? Au provincial, c’est toujours un enjeu majeur, mais au fédéral, il semble que non, même si mon souvenir n’est pas clair à cet égard. Le débat Maclean’s de jeudi soir était à cet égard fort décevant, puisqu’on a fait l’impasse non seulement sur la santé, mais aussi sur les politiques sociales.

Voici cinq enjeux qui devraient, à mon avis, alimenter les débats :

Sante_et_scienceTexte 1: 1. La volonté de respecter les principes fondateurs des systèmes de santé au Canada ;

Texte 2: 2. Le financement privé des soins médicalement requis ;

et 3. Le maintien du financement public fédéral en santé ;

Texte 3: 4. L’instauration d’une assurance médicaments pour tous les Canadiens ;

et 5. Et la réponse au récent jugement de la Cour suprême obligeant le fédéral à légiférer en faveur de l’aide médicale à mourir.

Diminution de 28 % de la mortalité des traumatisés au Québec

Capture d’écran 2015-02-27 à 23.46.42« Une nouvelle étude publiée dans le World Journal of Surgery par des chercheurs l’Université Laval et du CHU de Québec, dirigée par la Dre Lynn Moore, vient d’ailleurs de prouver que la mortalité des traumatisés s’est encore améliorée — on parle ici de 28 %, puisqu’elle est passée de 5,8 % à 4,2 %. »

Lire mon analyse sur le blogue Santé et sciences de l’Actualité.

Ou bien écoutez ma chronique à Médium Large à Radio-Canada.

 

Dossier Santé Québec : la centralisation des dossiers médicaux, enfin une réalité

150203_z69oi_mlarge_dossiers_medicaux_sn635En préparation depuis des années, le Dossier Santé Québec est enfin en train d’être implanté dans tout le Québec. Il permet aux médecins d’avoir accès à toutes sortes d’information essentielle (résultats de tests, radiographies, ordonnances…) en un clic de souris. Alain Vadeboncoeur, chef de l’urgence à l’Institut de cardiologie de Montréal et blogueur à L’actualité, explique ce que ce système contient et quels en sont les avantages pour les médecins et leurs patients.

Le mardi 3 février 2015

Audiofil sur le site de Radio-Canada

Aide médicale à mourir: craignez-vous les dérapages?

Capture d’écran 2015-02-19 à 23.02.07Aide médicale à mourir: craignez-vous les dérapages?

Dr Serge Daneault, médecin spécialisé en soins palliatifs, chercheur et professeur à la Faculté de médecine de l’Université de Montréal, signataire du Collectif de médecins du Refus médical de l’euthanasie, auteur de « Et si mourir s’apprivoisait, Réflexions sur la fin de vie »

Dr Alain Vadeboncoeur, chef du service de médecine d’urgence de l’Institut de cardiologie de Montréal

lien vers l’audiofil de 98.5

Jeudi le 12 février 2015

Je ne tuerai plus les patients que j’aiderai à mourir

Capture d’écran 2015-02-19 à 22.55.18Au tout début, je m’étais moi-même posé la question : est-ce que j’agirais ? Une réflexion toute personnelle, mais lourde de conséquences. Est-ce que je pousserais le piston de la seringue pour aider un patient à mourir ?

J’en étais arrivé à la conclusion que oui, parce que je ne pourrais refuser à un patient très souffrant l’aide médicale à mourir pour le forcer à rester «parmi nous».

Lien vers le texte complet sur le site de l’Actualité.

Et si le docteur Barrette ne savait pas qu’il était devenu ministre ?

Capture d’écran 2015-02-19 à 22.52.32« Le tribun a ouvert en murmurant : «Bon, ce soir, je vais être gentil…» Après une pause, pendant laquelle il savourait son effet, le discours a démarré. D’abord doucereux, le ton est monté graduellement, devenant peu à peu cinglant. Ma foi ! On aurait dit mon parrain, Michel Chartrand, réincarné en médecin.

Salve après salve, c’était une démonstration implacable. Plus il parlait, plus ses mots étaient durs, jusqu’à ce paroxysme où il pointa longuement son index accusateur. Puis, au bout de 30 longues minutes, il avait terminé. Il ne souriait plus. »

Lien vers le texte complet sur le site de l’Actualité.

Substituer pour les médicaments génériques afin de diminuer les coûts